« Ceux qui étaient les premiers il y a deux ans ne sont plus du tout les mêmes qu’aujourd’hui » a lancé Nicole Vanderbilt, vice-présidente internationale de Bebo. Bebo ? C’est un réseau …
« Ceux qui étaient les premiers il y a deux ans ne sont plus du tout les mêmes qu’aujourd’hui » a lancé Nicole Vanderbilt, vice-présidente internationale de Bebo. Bebo ? Cest un réseau social américain, à linstar de Facebook. Et ses responsables viennent dannoncer (le lundi 16 mars) le lancement du site dans cinq nouveaux pays européens, la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et les Pays-Bas.
Jusquici, le site n’était disponible qu’en anglais et en polonais, mais le bébé a grandi, et a désormais des ambitions internationales.
Très en retrait par rapport à l’omniprésent Facebook, disponible dans une quarantaine de langues, Bebo compte sur l’instabilité du web 2.0 pour grignoter des parts de marché à ses concurrents. « Ceux qui étaient les premiers il y a deux ans ne sont plus du tout les mêmes qu’aujourd’hui » a assuré Vanderbilt en guise de justification au retard de développement de son réseau social. Bebo, qui compte 22 millions de visiteurs uniques dans le monde selon le cabinet spécialisé Comscore, a vu sa position s’effriter en un an, passant de la troisième à la huitième place.
Par ailleurs, le petit nouveau veut renforcer sa présence sur le marché américain, en proposant une version spécialement destinée à la communauté hispanique. Comment ? En offrant notamment du contenu en spanglish, argot mêlant espagnol et anglais. Verra-t-on bientôt une version qui mêle larabe, la darija, au français, pour faire typiquement tunisien ?