«Les technologies de la téléphonie mobile et la santé» ont été au centre des débats lors dun séminaire qui s’est tenu, mardi 14 juillet, au pôle technologique dEl Ghazela. Les participants ont appelé à développer un cadre juridique et de normalisation devant régir la gestion des équipements radioélectriques et le degré d’exposition aux ondes non ioniques, conformément aux standards internationaux en vigueur.
Mme Lamia Chaffai Sghaier, secrétaire d’Etat chargée de l’informatique, de l’Internet et des logiciels libres a indiqué que la Tunisie compte sur l’Agence nationale des fréquences (ANF) pour le contrôle de l’occupation du spectre radioélectrique, retenu comme principale source des ondes électromagnétiques, le suivi et la mesure des radiations provenant des téléphones mobiles.
La secrétaire d’Etat a ajouté que la moyenne des niveaux des champs électromagnétiques relatives aux émetteurs de téléphonie mobile est très faible en Tunisie et ne dépasse pas 1% des mesures maximales adoptées.
Les mesures effectuées par l’agence nationale des fréquences (ANF) indiquent que la moyenne des niveaux d’exposition du public aux champs électriques enregistrée jusqu’à ce jour en Tunisie ne dépasse pas 2 volts par mètre. Alors que la limite adoptée par l’organisation mondiale de la santé (OMS) est de 41 volts par mètre. Plutôt rassurant.
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