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Tunisie : Le chat qui va comme sur des roulettes

En Tunisie, ce site fait fureur. Il vous permettra de bavarder avec un Indien, un Angolais ou un Chinois… à moins que vous ne préfériez discuter avec un Yankee à poil dans sa baignoire. Et en vidéoconférence s’il vous plait. Le hic ? Vous ne saurez jamais à qui vous aurez affaire !

En Tunisie, ce site fait fureur. Il vous permettra de bavarder avec un Indien, un Angolais ou un Chinois… à moins que vous ne préfériez discuter avec un Yankee à poil dans sa baignoire. Et en vidéoconférence s’il vous plait. Le hic ? Vous ne saurez jamais à qui vous aurez affaire !

Vous ne connaissez pas encore le site Chatroulette  ? Il s’agit pourtant de la toute dernière mode qui sévit actuellement sur le web. En Tunisie, ce site fait même fureur. Il a même été relayé par de nombreux blogueurs tunisiens qui l’ont trouvé assez sympa. Chez nos internautes, il fait même l’unanimité, la preuve : selon les tendances de recherche de Google réparties sur ces sept derniers jours, Chatroulette arrive à la deuxième position, en affichant une progression nette de 200%. En tout cas, si l’envie vous en dit, allez y faire un petit tour, car cela vaut vraiment le détour.

Son principe est simple : il s’agit d’un site, à travers lequel vous pouvez entamer des conversations avec de parfaits inconnus, en mode vidéoconférence (si vous avez une webcam, bien sûr) ou simplement en chattant le plus classiquement du monde, face à votre écran.

Pour cela, il suffit tout simplement de cliquer à chaque fois sur F9 (Next) pour passer d’un internaute l’autre. Bien qu’originale (le fait de converser avec un chinois et une minute après avec un indien ou un yankee), cette plateforme, nous a pourtant confronté a de drôles de zigotos : ceux qui apparaissent déguisés, ceux qui s’exhibent dans le plus simple appareil, pour ne pas citer les pervers qui mettent en évidence certaines parties de leurs anatomies…

La plateforme a été créée par Andrey Ternovskiy, un jeune russe de 17 ans, qui se déclare «contre les utilisations douteuses et frauduleuses de son site». Il raconte au New York Times, que cette idée lui était venue suite à la lassitude qu’il éprouvait à toujours converser avec les mêmes amis sur Skype.

S.B.N

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