Quand il est 3h du matin à Tunis, il est 9h au Québec. Le décalage horaire aidant, voici que nos concitoyens aux quatre coins du monde assurent une présence tunisienne permanente sur twitter. La frange la plus dynamique du web tunisien s’en donne à cœur joie.
Quand il est 3h du matin à Tunis, il est 9h au Québec. Le décalage horaire aidant, voici que nos concitoyens aux quatre coins du monde assurent une présence tunisienne permanente sur twitter. La frange la plus dynamique du web tunisien sen donne à cur joie.
La frange la plus dynamique du web tunisien sen donne à cur joie. Une communauté qui semble avoir ses habitudes. Des réparties parfois cinglantes et originales jaillissent parfois. Et il paraît que le buzz, cest ici quil se déclenche. Il faut donc le surveiller de près. Pour ne pas le rater au cas où il se mettrait à gonfler en cachette. Une fois que la bulle a crevé, une fois que la news a été répercutée ici et là, cest trop tard.
En attendant, The_Zarbrat annonce officiellement en arabe non-moins officiel la fin du week-end. On apprendra par ailleurs et pêle-mêle, quune grand-mère a tenté de vendre son petit-fils en Floride, puis sans véritable surprise que «Les internautes passent plus de temps sur les médias sociaux quà consulter leurs mails». Plus sérieusement, un portail relaye la bonne parole de la Banque Africaine de Développement et claironne cette vérité première : «LAfrique devrait réduire sa dépendance vis-à-vis de laide».
Dans le même contexte, un autre propose une soirée «Dancing at the Blue Iguana», pendant quune jeune femme bien de chez nous, mais qui vit sous dautres cieux, tweete à partir de son Blackberry pour poster, via Yfrog, la grenouille préférée de twitter, une photo de sa dégustation : «un Duo de fondue au chocolat avec ses petits fruits». La mixture est parfaitement habituelle. Pas de hiérarchisation, pas de discours qui traine en longueur. La loi dairain des 140 caractères tranche dans le vif pour éliminer le superflu. Enfin, quand on dit superflu, cest relatif.
Taïeb Moalla, journaliste au bureau politique du Journal de Québec, se fend de ce commentaire : «Je te rassure. Ça ne vole pas toujours très haut sur mon fil Twitter»!
LBC