Les bruits courent que certains partis revendiqueraient l’interdiction pure et simple de ces appareils électroniques dans l’hémicycle de l’Assemblée Constituante. C’est que ces mini-mouchards, au service du peuple, ont la fâcheuse tendance à propager les vérités que d’aucuns aimeraient conserver au secret.
Les bruits courent que certains partis revendiqueraient l’interdiction pure et simple de ces appareils électroniques dans l’hémicycle de l’Assemblée Constituante. C’est que ces mini-mouchards, au service du peuple, ont la fâcheuse tendance à propager les vérités que d’aucuns aimeraient conserver au secret.
Ainsi, les bruits courent que certains partis revendiqueraient l’interdiction pure et simple de ces appareils électroniques dans l’hémicycle de l’Assemblée Constituante. C’est que ces mini-mouchards, plus que jamais au service du peuple, ont la fâcheuse tendance à propager à tout crin les vérités que d’aucuns aimeraient conserver au secret.
Adieu, donc, ces photos prises sur le vif de députés endormis, ou s’amusant à des jeux vidéos alors que leurs collègues débâtèrent sur l’adoption du budget, et d’autres questions rébarbatives, s’il en est. Or l’Open Gov a fait son chemin. Et la démarche est d’autant plus difficile à arrêter que nos geeks se sont reconvertis dans la surveillance permanente des politiciens. Certains d’entre eux cumulent d’ailleurs fièrement les casquettes. Celles de citoyens, évidemment, désireux de dénoncer au grand jour, ce qui se décide dans le secret des alcôves des députés. Et celles de politiciens d’un nouveau type, ayant subi de bonne grâce les mises à jour «logicielles» qui font de cette nouvelle race d’hommes publics, les garants de la transition démocratique.
Et tant mieux, si les opérateurs téléphoniques, contribuent, par ricochet, à cette progression chancelante, mais qui trace malgré tout son chemin vers des lendemains qui déchantent moins. Qui eut cru, que des entreprises étatiques et privées, à l’image de marque parfois écornée par des accointances peu recommandables, participeraient (à leur corps défendant), au progrès cahin-caha de la société. Mais la high tech a ses raisons que les politiciens à l’ancienne ont fait mine d’ignorer. Et il leur en a coûté, demandez au réfugié de Djeddah ce qu’il en pense !
SM