«Non à l’agression des journalistes, Non à l’atteinte à la liberté d’expression, Non à la dépendance des médias», tel est le slogan à la une de la majorité des médias tunisiens, en ce 1er février 2012.
On en cite l’Instance Nationale pour la Réforme de l’Information et de la Communication (INRIC), le Syndicat Général de la Culture et de l’Information relevant de l’UGTT et le Syndicat Tunisien des Radios Libres (STRL). D’autres organismes à faible visibilité y participent dont le Syndicat Tunisien de la Presse Indépendante et des Partis (STPIP) ainsi que le Conseil National Indépendant de l’Information et de la Communication.
Idem pour l’Association Tunisienne des Directeurs des Journaux (ADJT) et le Syndicat Tunisien des Dirigeants des Médias (STDM). Voilà même que ces structures représentatives des patrons de presse, dont certains protagonistes sont connus par leur accointance avec l’ancien régime, brandissent le slogan de la liberté de la presse.
Cette action vient suite aux différentes agressions physiques et verbales à l’encontre de journalistes et certaines atteintes à la liberté de la presse perpétrées durant les quelques semaines écoulées.
T.M