WikiLeaks a revendiqué, dimanche sur Twitter, la paternité du hacking du «New York Times». Cet emblématique quotidien américain a été piraté le week-end passé. Un faux éditorial a été constaté.
Intitulée «WikiLeaks, a Post Postscript», cette tribune est signée du nom de Bill Keller, ancien directeur de la rédaction désormais simple journaliste. Dans cet édito, Keller défendait Julian Assange et son association contre le blocus organisé par les sociétés Visa, Mastercard ou Paypal empêchant toutes donations vers le site de WikiLeaks.
Source : AFP
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