La musique aux airs cyniques de l’artiste libanais Zeid Hamdan invite à la dérision. Ça sent le burlesque. Des salafistes posent devant une caméra. Ils n’hésitent pas à dévoiler leur côté sexy. C’est «Hezz ya wezz», nouveau long-métrage du cinéaste tunisien Ibrahim Letaief.
La musique aux airs cyniques de l’artiste libanais Zeid Hamdan invite à la dérision. Ça sent le burlesque. Des salafistes posent devant une caméra. Ils n’hésitent pas à dévoiler leur côté sexy. C’est «Hezz ya wezz», nouveau long-métrage du cinéaste tunisien Ibrahim Letaief.
{Facebook}10151007081426027{/Facebook}
Produit par Long et Court en association avec Ulysson, ce film sortira en salles en 2013. Son avant-première se tiendra le 23 octobre à Sejnane, d’après le réalisateur. Une pléiade de comédiens tunisiens a participé à cette comédie dont Ahmed Hefiane, Sawsen Maalej, Foued Litayem, Fatma Ben Saidane, Taoufik El-Ayeb, Afef Ben Mahmoud et autres.
«Affreux, cupides et stupides», ainsi s’intitule le film dans sa version française. Après son premier long-métrage «Cinecittà», Ibrahim Letaief fait ainsi un deuxième clin d’œil au cinéma italien. L’allusion au cultissime «Affreux, sales et méchants», film de l’emblématique réalisateur italien Ettore Scola, est claire.
T.M