«On ne doit pas tomber dans le piège de la provocation et on doit dénoncer ces actes par des moyens pacifiques», a affirmé, jeudi, la présidence de la République …
«On ne doit pas tomber dans le piège de la provocation et on doit dénoncer ces actes par des moyens pacifiques», a affirmé, jeudi, la présidence de la République, à la suite de la publication, mercredi, par le journal français « Charlie hebdo » des caricatures islamophobes.
La Tunisie fustige la publication par ce journal des caricatures offensant le prophète Mohamed et stigmatise «l’atteinte délibérée» par «des milieux racistes à des fins suspectes» aux sentiments religieux des musulmans, a indiqué le porte-parole officiel de la Présidence de la République Adnène Mansar dans une déclaration écrite.
«Cette nouvelle provocation ne peut pas être une forme d’exercice de la liberté d’expression », a-t-il estimé, concluant que «certains milieux veulent sciemment attiser la tension dans les relations entre le monde musulman et l’Occident». «La culture islamique est au-dessus de toute cette polémique préméditée et provocatrice», a-t-il soutenu.
TAP