Malgré les efforts de Google, Facebook ou Twitter, le contenu en arabe disponible sur Internet (3 % des pages) reste limité, estime le cabinet Euromonitor.
Selon l’agence britannique, l’explication réside d’abord dans le décalage entre le coût élevé du développement de contenus arabes et un marché somme toute balbutiant.
En dépit d’une progression du nombre d’internautes arabes de 167 % depuis 2006, on compte en effet moins de 30 % d’Égyptiens, de Marocains ou d’Algériens surfant sur le web, contre près de 75 % en France (62 % cependant au Liban).
A noter que 25 % des foyers arabes sont équipés d’un ordinateur connecté à Internet. Ce chiffre s’élève à 70 % en Europe.
Source : econostrum.info
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