Le Centre Culturel Mongi Slim à Menzel Bouzalfa fête l’éducation, la culture et le travail les 5, 6 et 7 avril 2013 à travers la publication de plusieurs documentaires tunisiens.
cet événement est organisé par les Caravanes Documentaires en partenariat avec la Jeune Chambre Internationale (JCI).
Voici le programme :
Vendredi 5 avril 2013 à 16h :
Al halfa kif edheheb (l’alfa comme L’or) de Hichem Ben Ammar
Dans la steppe de Kasserine, les femmes qui arrachent l’alfa selon une technique ancestrale, subviennent très durement aux besoins des familles qui sont à leur charge. Cette activité épuisante et très mal payée ressemble à un esclavage moderne.
Arab essarafa (au bas de l’échelle) de Tarek Ben Ghzaïel
La cueillette des olives dans la région de Sidi Bouzid est une activité saisonnière pratiquée par les familles qui se trouvent au bas de l’échelle sociale.
Raïs labhar (ô ! capitaine des mers…) de Hichem Ben Ammar
A sidi Daoud à la pointe du Cap Bon, la pêche traditionnelle du thon est une véritable passion pour les marins de l’ancienne génération et une malédiction pour les jeunes qui ne rêvent que de partir.
Samedi 6 avril 2013 à 16 h :
Le monde d’Inès de Fatma Skandrani
Inès est née avec une grave maladie congénitale qui l’empêche de grandir. Encouragée par ses parents, elle trouve dans la peinture un moyen de survivre.
Kène ya ma kène fi hadha ezzamène (un conte de faits) de Hichem Ben Ammar
Anés est un musicien prodige. Agé de onze ans à peine, il réussit à réaliser le rêve de son père qui estime avoir raté sa carrière musicale. Les succès d’Anès constituent pour lui une véritable revanche sur le destin.
Dimanche 7 Avril 2013 à 16 h :
Ramadan fi Touba (ramadan à Touba) de Hichem Ben Ammar
Fondée par le cheikh Ahmadou Bamba à la fin du 19° siècle, Touba est devenue la capitale religieuse du Sénégal abritant la confrérie Mouride qui est la plus connue en Afrique subsaharienne. Le film évoque cette ville mythique pendant le mois Saint.
Cafichanta de Hichem Ben Ammar
Les cafés chantants qui animaient les soirées de Ramadan dans le quartier tunisois de Bab Souika ont disparu depuis les transformations urbanistiques. Des artistes qui s’y produisaient il n’y a pas si longtemps s’en souviennent avec nostalgie.