Attendez-vous à passer du Jazz américain avec Jeri Brown, une des cinquante meilleures interprètes Jazz de tous les temps, aux rythmes entraînants de la Salsa colombienne avec Salsa Ilegal ce samedi 13 avril 2013 dans le cadre de la 8ème édition de Jazz à Carthage. …
Attendez-vous à passer du Jazz américain avec Jeri Brown, une des cinquante meilleures interprètes Jazz de tous les temps, aux rythmes entraînants de la Salsa colombienne avec Salsa Ilegal ce samedi 13 avril 2013 dans le cadre de la 8ème édition de Jazz à Carthage.
Jeri Brown a collaboré, entre autres, avec Dizzie Gillespie, Kenny Werner ou encore David Murray, marque par une voix unique et une interprétation vibrante. Don Heckman du Los Angeles Times en parlant d’elle, évoque un mélange subtil entre musicalité et expressivité. Elle peut, selon lui, chanter l’annuaire et faire que vous vous rappeliez de chaque numéro !
Son « first Ladies of Jazz » est un show où elle présente un éventail de tubes pop et jazz.
Il suffit de fermer les yeux, et c’est Sarah Vanghan que vous croirez entendre chanter «Let’s Build a Starway to Paradise», ou Nina Simone, électrisant l’audience avec «Sinnerman», Peggy Lee, mettant le feu avec son «Fever», ou encore Ella Fitzgerald, captivant avec son «Honeysuckl Rose».
Salsa Ilegal est un groupe sans nationalité, sans frontière avec des histoires différentes à raconter qui vont du malheur à l’amour d’une terre abandonnée pour une terre où le bonheur sera retrouvé.
La formation multiplie les styles: Cumbia, salsa, merengue, cha cha, et salsaton … Leur salsa se caractérise par l’apport d’instruments traditionnels andins comme la zampoñas, la kenas ou le chanrango et se différencie en cela de la salsa traditionnelle.
Ils se plaisent à qualifier leur musique de Salsa urbaine, reflet d’un groupe dont la diversité culturelle fait la force et l’originalité.
Salsa Ilegal est devenu une forme d’expression qui revendique une diversité musicale, qui de nos jours se perd un peu. Cette diversité fait leur identité. Cloisonner Salsa Ilegal à un seul genre musical est difficile, car c’est simplement une aventure musicale qui fait fusionner des rythmes, des genres, des sentiments, des arômes et des couleurs sans frontières.
Pour Salsa Ilegal, «la musique est un sentiment non une condition, et les sentiments ne peuvent en aucun cas devenir un effet de mode».
Que ce soit au festival tropical de Genève ou à Jazz à Tours, ils sont à leur place sur toutes les scènes, leur musique traverse les genres, enflamme le public et s’impose comme un moment d’intense émotion et de pur délire.
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