Les agressions des policiers contre les manifestants pacifiques devant l’ANC créent une véritable polémique sur les réseaux sociaux et sur les radios de la place.
Notamment après la publication par le syndicat national des forces de sécurité Intérieure un communiqué dans lequel il demande à ses adhérents de revoir les nominations partisanes.
Ceci confirme les informations sur l’état de désordre qui règne devant l’ANC où certaines troupes utilisent abondamment le gaz lacrymogène tandis que d’autres observent une neutralité. Des informations font même état d’échanges de tirs de gaz entre flics.
Certains membres notoires des LPR sont apparus aux abords du Bardo avec des dossards de la police, relatent certains témoins oculaires sur place.
Des journalistes et photographes ont été agressés lors de la couverture des événements devant l’Assemblée Nationale Constituante, ce qui a nécessité leur transport à l’hôpital.
Certains agents de police ont affirmé au micro de Shems FM qu’ils sont infiltrés tout en niant avoir agressé les journalistes.