A l’occasion de la journée internationale de la liberté de la presse, le chef du gouvernement Habib Essid a réaffirmé sa solidarité et son soutien aux familles des journalistes Sofien Chourabi et Nadhir Ktari disparus en Libye.
Essid a souligné le souci de révéler les circonstances de la disparition des deux journalistes en Libye. Il a adressé ses voeux à la famille médiatique, institutions et structures professionnelles, affirmant que la liberté de la pensée, de l’opinion, de l’expression et de l’information est un des acquis de la révolution.
Il s’agit d’un droit constitutionnel que le gouvernement œuvre à préserver et à consacrer dans le texte et dans la pratique. Dans sa déclaration, le chef du gouvernement met en avant le bond qualitatif enregistré par les médias tunisiens.
Il a salué les efforts déployés par les journalistes et leurs structures professionnelles pour promouvoir le secteur, développer son contenu et interagir continuellement avec les questions nationales et les préoccupations et attentes des citoyens.
Habib Essid a également souligné le rôle dévolu au secteur en matière de sensibilisation aux défis qui se posent et d’immunisation du processus démocratique. « la consolidation des attributs d’une information loyale et libre repose sur l’attachement à l’éthique journalistique » a-t-il toutefois soutenu. Le chef du gouvernement a insisté sur le souci de réunir toutes les conditions devant permettre aux journalistes d’accomplir leur noble mission.
D’après la TAP
Plus : Actu Ness News