Le ministre de la Justice Ghazi Jeribi a indiqué que les tests des bracelets électroniques pour certain condamnés tunisiens vont débuter bientôt. Cette technique de placement sous surveillance électronique, destinée à des personnes qui ont obtenu des peines légères, permet d’exécuter une peine d’emprisonnement sans être incarcéré.
Dans plusieurs pays à l’instar de la France, la personne condamnée porte le bracelet à la cheville, si elle sort de chez elle en dehors des heures fixées, un surveillant pénitentiaire est aussitôt averti par une alarme à distance. Il faut voir si ces même procédures seront appliquées en Tunisie.
L’utilisation de cette technique de placement sous surveillance électronique devrait commencer dans les semaines prochaines indique Ghazi Jeribi avec le programme de restructuration des instances pénitentiaires et de réforme des infrastructures.
Tekiano avec MosaiqueFm