Dans une interview accordée à wmc. Radhi Meddeb, président du groupe Comete Engineering et du Centre financier aux entrepreneurs, fait une analyse de la situation économique, politique et sociale de la Tunisie.
Parlant des réformes, notre expert assure que « la clé des réformes à venir est leur appropriation par toutes les parties prenantes ». En clair, « il faut que tout le monde se sente concerné », en ce sens qu’elles (les réformes) « n’appartiennent ni au gouvernement, ni à l’UGTT, ni à l’UTICA ni à la présidence de la République, mais à l’ensemble du corps social ».
Plus loin Meddeb soutient qu’en matière économique le facteur temps est le plus important. « Le coût des réformes, des transformations ou du règlement des problèmes s’aggrave de manière exponentielle avec le temps ».
Pour étayer ses dires, il a donné l’exemple grec qui a rencontré d’énormes problèmes dans ses réformes et l’endettement.
Lire tour l’article ici : «Des parties continuent à croire que richesses et produits existent, que le peuple est grand et a droit à tout cela sans efforts, sans larmes et sans sueur»